La fin des bêtes normalités...

Il n'aura échappé à personne que le monde marche de plus en plus sur la tête.
Il suit des principes de fonctionnement plus proches du NON SENS que du BON SENS.
Les normalités ne dépendent plus de logiques cohérentes mais d'habitudes usées, dépassées et galvaudées :
CECI EST EN PASSE DE CHANGER car le nouveau paradigme est d'ores et déjà installé et va TRÈS BIENTÔT SE RÉVÉLER. Soyez bien informé de ce bouleversement imminent car il va changer toutes vos réalités ...

mardi 15 mai 2012

Où étiez-vous avant de naître ?

Avant votre venue au monde vous faisiez « UN » avec votre mère. A la naissance, le nourrisson et sa mère font déjà « deux », mais durant quelques secondes le nouvel être et sa mère restent physiquement reliés via le cordon ombilical.

Puis ce lien est coupé : cette fois la division du « UN » devient effective, vécue, expérimentée, bien réelle : c’est la vraie séparation, le commencement de la dualité et le début de la solitude : soudaine, brutale et insupportable.

Voila pourquoi – quelle que soit votre vie, ses chances et ses malchances, ses réussites ou échecs – à un moment ou un autre vous êtes confronté à la sensation de solitude. Lorsque vous vous sentez seul au monde, ce n’est que le douloureux rappel de la séparation initiale du « UN ».

Pour être clair, c’est la séparation du « Tout ». Pour être plus clair encore, votre destinée va consister à re-fusionner avec ce « Tout », avec ce « UN », et la peur de ne pas y arriver est à la base de toutes les autres peurs.

Au départ le nourrisson ne possède aucune « peur virtuelle », c'est-à-dire des peurs projectives qui dépassent les faits du présent. Ses peurs innées – biologiquement programmées – se limitent à la peur du vide et celle des bruits forts. Les autres sont acquises au fur et à mesure – culturellement.

Car l’éducation renforce l’idée de séparation : tous les enseignements qui nous sont prodigués sont basés sur le principe « être le meilleur », ce qui bien évidemment sous-entend « être meilleur que les autres ». Ainsi, on apprend implicitement que pour exister… il faut vaincre !

Et c’est parti pour une vie : l’existence n’est plus qu’un combat au quotidien et chaque interaction est une compétition vitale dont il faut sortir vainqueur. Il s’agit d’être supérieur : socialement supérieur, pécuniairement supérieur, intellectuellement supérieur. A tous niveaux supérieurs. Comment ne pas avoir peur ??

Car en cas d’échec – ça on nous l’a bien fait comprendre –, on va cesser d’exister ! Ainsi, en respect de nos croyances profondément ancrées, à la moindre faiblesse on se verra illico comme un moins que rien. Or, il faut bien reconnaître que « moins que rien », c’est peu pour se sentir vraiment exister

Mais se battre contre quoi en vérité ? Contre la vie ? Et gagner contre qui ? Contre les autres existences de la vie ? Pour le plus grand préjudice de chacun c’est quasiment ce que tout le monde croit… et surtout la plus magistrale des erreurs fondamentales !

Croire que l'on est d'un côté et que la vie est de l’autre ; croire que l’on est séparé des autres ; croire que vivre consiste à se sentir supérieur et exister gagner des combats : telles sont les vérités totalement galvaudées auxquelles vous avez bien voulu croire… pour votre plus grand préjudice !  Car il est tout simplement impossible d'être en paix dans ce monde en respectant ces lois guerrières...

Si vraiment quelque chose est à combattre, il ne s’agit alors que de ces fausses croyances gravées en vous. Car s’il y a vraiment quelque chose à gagner, il s’agit de ses propres vérités, de sa propre liberté, de son propre bonheur. Or tout ça, c’est en vous que ça se passe – uniquement – et nulle part ailleurs dans un « extérieur » !

Il s’agit de prendre conscience que tout ce que l’on fait dans sa vie – le pire comme le meilleur – c’est pour « être bien ». On accumule des biens pour se sentir bien : on veut avoir pour ETRE. On rabaisse les autres pour se sentir supérieur : on veut dominer pour ETRE numéro UN. On tente de retrouver cette sensation unique du bien-être absolu : on cherche le retour à l’UNITE par tous les moyens !

Mais ceci ne peut se réaliser par le combat, et voici pourquoi : l’Unité est Unique – par essence même – et n’a donc rien à combattre « dehors ». L’unité est Tout – par essence même – et bien évidemment jamais rien ne sera supérieur à Tout.

La Destinée de tout un chacun consiste à « être bien » ; à se remémorer ses origines fondamentales et se reconnecter à la source du UN. Vous, moi – tout le monde : nous sommes à la recherche de notre propre complétude ! C’est tout. Il n’y a rien d’autre.

L’Univers est simple : vous ne pouvez pas vivre autre chose que ce que vous pensez être. Mais votre idée de ce que vous êtes est assurément  bien en deçà de ce que vous êtes fondamentalement. C’est le seul problème que vous avez à régler… avec vous-même.

Sachez que vos peurs (et échecs qui en résultent) émanent d’un enseignement galvaudé qui – depuis le plus jeune age – vous a fait croire qu’il y a vous d’un coté et le monde de l’autre. Quelle idée saugrenue, non ? Vous seriez donc en vie... sans être représentatif de la vie elle-même ??

Par quelle diablerie ceci serait-il possible ? Car où se trouvent tous les objets que vous utilisez ? Dans votre vie ! Et où sont toutes les personnes que vous rencontrez ? Dans votre vie ! Et à quel endroit surviennent tous les événement que vous vivez ? Dans votre vie ! Bref, dans votre vie il y a tout et tout le monde – l’univers entier donc – et il en est de même pour chaque existence. Alors tout ceci ne fait qu’UN, n’est-ce pas ? Oui, ce que vous êtes fondamentalement …

Avant votre venue au monde, vous faisiez UN avec le TOUT. Puis vous avez fini par croire en être séparé (via la force de l’ego, les phénomènes trompeurs de relativité et l’enseignement qui vous a été prodigué) alors que dans l’absolu il n’en est rien. Car même en tant qu’individu vous restez inséparable du tout (du reste, le terme « individu » provient du latin « individuum » signifiant littéralement « ce qui est indivisible »).

Voila, tout est là. La vie c’est vous. Le monde passe par vous. Tout l’univers est en vous et votre potentiel est dans ses infinis. Ca, lorsque vous l’aurez émotionnellement saisi, plus rien ne pourra vous apeurer – jamais.

Vous appartenez à la vie et la vie vous appartient. Plus besoin de combat pour vous sentir exister. Vous existez déjà : c’est un fait. Laissez-vous aller à la Source de votre propre existence et vous retrouverez le UN – l’avant de votre naissance, votre Absolue Existence. Le bonheur, c’est juste ça...


Par exemple, 
voici 5 quêtes majeures de la vie 
vues d’un point de vue RELATIF :
1- Avoir de l’argent.
2- Détenir du pouvoir.
3- Obtenir de la notoriété
4- Trouver l’amour.
5- Se sentir bien
 
Qui deviennent d’un point de vue ABSOLU :
1- Etre riche de ses propres VALEURS.
2- Etre connecté à l’Univers ENTIER.
3- Se savoir reconnu du « UN ».
4- S’aimer soi-même en tant que TOUT.
5- Se sentir complet dans l’UNITE.



 
Cet article participe à l’évènement inter-blogueurs "Echanges de compétences" organisé par le blog Copywriting Pratique. Si vous avez lu cet article, à combien l’évalueriez-vous sur 5 ? Cliquez sur la note de votre choix : 012345